Freelance Définition : Tout Comprendre sur le Statut Free-lance
Tu as forcément déjà entendu parler des freelances, non ? Ce terme est partout aujourd’hui ! Mais sais-tu vraiment ce qu’il signifie ? Si tu te poses des questions sur la définition exacte du freelance, sur comment ça marche ou si tu envisages de te lancer, tu es au bon endroit ! 😊 Je vais tout t’expliquer simplement pour que tu puisses comprendre ce mode de travail qui attire de plus en plus de professionnels.
Beaucoup confondent freelance avec un statut juridique précis, mais c’est bien plus qu’une simple case administrative. On va démystifier ensemble toutes les facettes de ce mode de travail indépendant et voir comment il pourrait (ou pas) correspondre à tes aspirations professionnelles.
L’essentiel à retenir
- Définition : Un freelance est un travailleur indépendant qui exerce seul, sans lien de subordination avec ses clients
- Statut juridique : ‘Freelance’ n’est pas un statut en soi mais un mode de travail – plusieurs options existent comme micro-entreprise ou SASU
- Secteurs : On peut être freelance dans tous les domaines (dev web, graphisme, comptabilité, rédaction…)
- Avantages : Liberté d’organisation, choix des missions, indépendance décisionnelle
- Inconvénients : Revenus instables, solitude, protection sociale moins avantageuse qu’en salariat
- Compatibilité : Possibilité de cumuler avec un emploi salarié sous certaines conditions contractuelles
Freelance : définition et origine du terme
Commençons par le commencement : qu’est-ce qu’un freelance exactement ? Le terme ‘freelance’ vient de l’anglais et signifie littéralement ‘indépendant’. En français, on utilise souvent ‘travailleur indépendant’ comme synonyme, mais le mot anglais s’est vraiment imposé dans notre vocabulaire quotidien.
🔍 Un freelance, c’est une personne qui travaille à son compte, sans être salariée d’une entreprise. Il réalise des missions ponctuelles ou régulières pour différents clients, sans lien de subordination comme celui qui existe dans un contrat de travail classique.
Tu savais que l’origine du terme remonte à 1820 ? C’est Sir Walter Scott qui l’a utilisé pour la première fois dans son roman ‘Ivanhoé’ pour désigner des mercenaires ‘dont la lance est libre’ (free lance), prêts à vendre leurs services au plus offrant. Plutôt cool comme origine, non ? 😎
Le plus important à retenir, c’est que le freelance n’est pas un statut juridique en soi, ni un métier spécifique. C’est avant tout un mode de travail qui peut s’appliquer à une multitude de professions.
Contrairement à un salarié qui a un employeur fixe et un contrat de travail, le freelance établit des relations contractuelles diverses avec ses clients via des devis, des factures, des conditions générales de vente ou des contrats de prestation.
Qui peut être freelance et dans quels domaines ?
La bonne nouvelle, c’est que pratiquement tout le monde peut devenir freelance ! Il n’y a pas de prérequis légaux spécifiques pour se lancer, à part choisir un statut juridique adapté à ton activité et faire les démarches administratives nécessaires.
En revanche, il est fortement recommandé d’avoir des compétences solides et si possible de l’expérience dans ton domaine. C’est ce qui va te permettre de convaincre tes futurs clients et de te démarquer sur un marché parfois très concurrentiel.
Tu peux être freelance dans une multitude de domaines, par exemple :
- Développeur web freelance
- Graphiste ou designer freelance
- Rédacteur web ou copywriter
- Community manager
- Consultant marketing ou business
- Comptable ou expert-comptable
- Traducteur
- Photographe ou vidéaste
- Coach ou formateur
- Et bien d’autres encore !
Tu as peut-être entendu parler des startups licornes qui font appel à de nombreux freelances pour leur flexibilité et leur expertise ? C’est un exemple parmi tant d’autres de la façon dont les entreprises intègrent les freelances dans leur stratégie de développement.
🛠️ En pratique, le freelance peut intervenir dans n’importe quel secteur où une expertise spécifique est recherchée. Même dans des métiers en B, les freelances trouvent leur place pour apporter leurs compétences sur des projets précis.
Les différents statuts juridiques pour exercer en freelance
Comme je te l’ai dit, être freelance n’est pas un statut juridique en soi. Pour travailler légalement en tant que freelance, tu dois choisir un cadre légal pour ton activité. Deux grandes options s’offrent à toi : l’entreprise individuelle ou la société.
La micro-entreprise (ex auto-entrepreneur)
C’est LE statut préféré des freelances débutants, et c’est facile de comprendre pourquoi ! Simple à créer et à gérer, la micro-entreprise (anciennement auto-entreprise) te permet de te lancer rapidement avec un minimum de formalités administratives.
Ses avantages :
- Création simple et rapide (quelques clics en ligne)
- Comptabilité ultra-simplifiée
- Régime fiscal avantageux pour démarrer
- Pas de TVA à gérer tant que tu restes sous les seuils
Ses limites :
- Plafonds de chiffre d’affaires à respecter : 77 700 € HT pour les prestations de services
- Impossible de déduire tes charges de ton CA
- Protection sociale moins avantageuse
- Pas d’image ‘société’ qui peut parfois être un frein avec certains clients
🔍 Attention : en micro-entreprise, tu payes tes cotisations sociales sur ton chiffre d’affaires, et non sur tes bénéfices. Si tu as beaucoup de charges, ce n’est pas forcément le statut le plus avantageux sur le long terme.
L’entreprise individuelle classique
C’est la grande sœur de la micro-entreprise. Tu restes en nom propre, mais tu n’es plus soumis aux plafonds de chiffre d’affaires. Par contre, la comptabilité devient plus complexe.
Avec ce statut, tu peux :
- Développer ton activité sans limite de CA
- Déduire tes charges professionnelles
- Choisir un régime d’imposition adapté
La société unipersonnelle : EURL ou SASU
Si tu vises plus grand ou que tu veux séparer clairement ton patrimoine personnel et professionnel, la création d’une société peut être une bonne option.
Tu as principalement deux choix :
L’EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée) :
- Capital social minimum de 1€
- Régime des travailleurs non-salariés (TNS)
- Imposition par défaut à l’IR, option possible pour l’IS
La SASU (Société par Actions Simplifiée Unipersonnelle) :
- Capital social minimum de 1€
- Régime des assimilés-salariés (cotisations sociales plus élevées mais meilleure protection)
- Imposition par défaut à l’IS, option temporaire possible pour l’IR
☝️ Bon à savoir : dans certains domaines, comme le paramédical, tu peux aussi exercer en tant que professionnel libéral, ce qui représente une autre façon d’être freelance avec ses spécificités propres.
Les avantages et inconvénients du statut freelance
Être freelance, c’est un choix de vie autant qu’un choix professionnel. Avant de te lancer, il est important que tu connaisses les deux faces de la médaille !
Les avantages d’être freelance
😎 L’indépendance : c’est LE grand avantage ! Tu es ton propre patron, tu prends toutes les décisions concernant ton activité. Pas de manager pour te dire quoi faire ou comment le faire.
🕒 La liberté d’organisation : tu organises ton temps comme tu le souhaites. Envie de travailler tôt le matin et prendre ton après-midi ? C’est possible. Besoin de t’occuper des enfants certains jours ? Tu adaptes ton planning.
💼 Le choix des missions : tu as le pouvoir de dire oui ou non aux projets qu’on te propose. Tu peux sélectionner ceux qui t’intéressent vraiment ou qui correspondent à tes valeurs.
💰 Un potentiel de revenus plus élevé : avec de l’expérience et une bonne réputation, tu peux souvent gagner plus qu’en étant salarié, même si c’est moins stable.
🌱 L’évolution constante : tu apprends en permanence, non seulement dans ton domaine d’expertise, mais aussi en développant des compétences en gestion, marketing, vente, etc.
Les inconvénients d’être freelance
💸 Des revenus instables : un mois tu peux très bien gagner ta vie, le suivant peut être beaucoup plus calme. La gestion de trésorerie devient essentielle !
🏝️ La solitude : travailler seul peut être pesant à la longue. Tu n’as plus de collègues avec qui échanger autour d’un café ou partager tes difficultés professionnelles.
🩺 Une protection sociale moins avantageuse : selon le statut choisi, ta couverture santé et ton régime de retraite peuvent être moins favorables qu’en tant que salarié.
🏃♂️ La charge mentale : tu dois gérer ton activité dans sa globalité – trouver des clients, réaliser les prestations, faire la compta, la facturation, la prospection… Ça peut être épuisant !
⏰ La difficulté à déconnecter : quand on est son propre patron, il est parfois difficile de faire la distinction entre vie pro et vie perso. Le risque de surmenage existe.
Aspect | Freelance | Salarié |
---|---|---|
Autonomie | Totale ✅ | Limitée ⚠️ |
Stabilité des revenus | Variable ⚠️ | Stable ✅ |
Protection sociale | Moins avantageuse ⚠️ | Complète ✅ |
Choix des missions | Libre ✅ | Imposé ⚠️ |
Potentiel de revenus | Illimité ✅ | Plafonné ⚠️ |
Les obligations d’un freelance
Être libre ne signifie pas être exempt d’obligations ! En tant que freelance, tu dois respecter certaines règles pour exercer légalement ton activité.
Voici les principales obligations à connaître :
Immatriculation et formalités administratives
Quelle que soit la forme juridique choisie, tu dois obligatoirement être immatriculé au Registre National des Entreprises (RNE) pour obtenir un numéro SIRET. C’est ce numéro qui te permettra d’exercer légalement et d’établir des factures.
Pour cela, tu dois passer par le guichet unique des entreprises, une plateforme en ligne qui centralise toutes les démarches de création d’entreprise.
En fonction de ton activité, tu pourrais également avoir besoin :
- D’une qualification professionnelle spécifique
- D’autorisations particulières
- D’une inscription à un ordre professionnel
Facturation et comptabilité
En tant que prestataire, tu as l’obligation d’établir des factures conformes pour toutes tes prestations. Une facture doit comporter certaines mentions obligatoires comme :
- Tes coordonnées complètes et numéro SIRET
- Les coordonnées de ton client
- La date et le numéro de facture
- Le détail des prestations et leur prix
- Les conditions de règlement
- La mention de ton statut fiscal vis-à-vis de la TVA
🛠️ En pratique : même en micro-entreprise où la comptabilité est simplifiée, tu dois tenir un livre chronologique des recettes et conserver tous les justificatifs de tes achats professionnels.
Obligations fiscales et sociales
Selon ton statut, tu devras :
- Déclarer ton chiffre d’affaires (mensuellement ou trimestriellement en micro-entreprise)
- Payer tes cotisations sociales
- Déclarer tes revenus et payer tes impôts
- Gérer la TVA si tu y es assujetti
Assurances professionnelles
Bien que ce ne soit pas toujours une obligation légale (sauf dans certains secteurs comme le bâtiment), souscrire une assurance responsabilité civile professionnelle (RC Pro) est fortement recommandé pour te protéger en cas de problème avec un client.
Selon ton activité, d’autres assurances peuvent être nécessaires, comme une assurance multirisque pour ton local professionnel ou une assurance perte d’exploitation.
☝️ Bon à savoir : tu as une obligation de moyens envers tes clients. Cela signifie que tu dois mettre en œuvre tous les moyens nécessaires pour réaliser la prestation convenue, mais tu n’es pas tenu à une obligation de résultat (sauf mention contraire dans ton contrat).
Cumul d’activités : peut-on être freelance et salarié ?
La réponse est OUI ! Tu peux tout à fait être freelance tout en conservant un emploi salarié. C’est ce qu’on appelle le cumul d’activités, et c’est une option qui séduit de plus en plus de personnes qui veulent se lancer en douceur, sans prendre trop de risques.
Mais attention, ce n’est pas si simple ! Il y a quelques règles et précautions à prendre en compte :
Vérifier son contrat de travail
Avant toute chose, jette un œil à ton contrat de travail pour vérifier s’il contient :
- Une clause d’exclusivité qui t’interdirait d’exercer une autre activité professionnelle
- Une clause de non-concurrence qui pourrait te restreindre si ton activité freelance est dans le même secteur que ton emploi salarié
🔍 Même en l’absence de telles clauses, tu as un devoir de loyauté envers ton employeur. Il est donc recommandé de l’informer de ton projet, surtout si ton activité freelance peut être considérée comme concurrente.
Respecter la durée légale du travail
Si tu es à temps plein, n’oublie pas que le code du travail limite la durée hebdomadaire de travail. Tu dois t’assurer que l’addition de tes heures en tant que salarié et freelance ne dépasse pas les limites légales (48h par semaine).
Gérer la fiscalité et les cotisations sociales
En cumulant deux activités, tu devras :
- Déclarer l’ensemble de tes revenus (salaire + revenus freelance) à l’administration fiscale
- Payer des cotisations sociales sur tes deux sources de revenus
Le cumul peut parfois te faire changer de tranche d’imposition, c’est un élément à prendre en compte dans tes calculs de rentabilité.
Cumul avec les allocations chômage
Tu es au chômage et tu veux te lancer en freelance ? C’est possible aussi ! Tu peux cumuler ton activité indépendante avec tes allocations chômage, selon certaines conditions :
- Tu dois déclarer chaque mois tes revenus à Pôle Emploi
- Tes allocations seront réduites en fonction de tes revenus d’activité
C’est une bonne façon de te lancer progressivement tout en conservant un filet de sécurité.
Comment se rémunérer en tant que freelance ?
Quand on parle d’argent en freelance, on ne parle pas de ‘salaire’ mais de ‘rémunération’, puisque tu n’es pas salarié ! La façon dont tu vas pouvoir te payer dépend entièrement du statut juridique que tu as choisi.
En micro-entreprise
En micro-entreprise, c’est ultra simple (et c’est bien l’un de ses avantages !) : tout l’argent qui reste dans ta poche après avoir payé tes charges sociales et tes impôts constitue ta rémunération.
Concrètement :
- Tu encaisses tes recettes sur ton compte professionnel
- Tu payes tes cotisations sociales (entre 22% et 25% de ton CA selon ton activité)
- Tu payes tes impôts (soit via le versement libératoire, soit via l’impôt sur le revenu classique)
- Tu peux virer l’argent restant sur ton compte personnel quand tu le souhaites
🛠️ En pratique : il est recommandé de ne pas tout dépenser et de garder une partie de tes revenus pour :
- Constituer une épargne de précaution pour les périodes creuses
- Investir dans ton activité (matériel, formation, etc.)
- Préparer ta retraite (via des produits d’épargne adaptés)
En société (EURL ou SASU)
En société, les choses sont un peu plus complexes. Tu as généralement deux façons de te rémunérer :
La rémunération du dirigeant : tu te verses un ‘salaire’ (même si juridiquement, ce n’en est pas un). Cette rémunération est :
- Soumise à des cotisations sociales (TNS pour l’EURL, régime général pour la SASU)
- Déductible des bénéfices de la société
- Imposable à l’IR dans la catégorie des traitements et salaires
Les dividendes : si ta société fait des bénéfices, tu peux décider, en tant qu’associé unique, de t’attribuer des dividendes. Ces derniers :
- Sont prélevés sur les bénéfices après impôt sur les sociétés
- Sont soumis aux prélèvements sociaux (17,2%)
- Sont imposés au PFU (flat tax) de 30% ou au barème progressif de l’IR
La stratégie optimale dépend de nombreux facteurs : ton niveau de revenus, tes besoins personnels, la santé financière de ta société, ta situation fiscale globale…
☝️ Bon à savoir : en SASU, tes cotisations sociales sont plus élevées qu’en EURL, mais ta protection sociale est meilleure (proche de celle des salariés).
FAQ : tout ce que tu voulais savoir sur le statut freelance
C’est quoi la différence entre freelance et auto-entrepreneur ?
‘Freelance’ désigne un mode de travail indépendant, tandis que ‘auto-entrepreneur’ (maintenant appelé micro-entrepreneur) est un statut juridique spécifique. Un freelance peut exercer en micro-entreprise, mais aussi sous d’autres formes juridiques comme l’EURL ou la SASU. En résumé, tous les auto-entrepreneurs peuvent être des freelances, mais tous les freelances ne sont pas auto-entrepreneurs !
Quels sont les métiers où on peut être freelance ?
Pratiquement tous ! Les domaines les plus courants sont l’informatique (développement web, applications), la communication (rédaction, graphisme, community management), le conseil (marketing, RH, finance), la formation… Mais on trouve aussi des freelances dans des secteurs plus inattendus comme la santé, l’artisanat, ou même la cuisine. Si tu peux proposer une expertise spécifique à des clients, tu peux probablement exercer en freelance.
Comment fixer ses tarifs en freelance ?
C’est LA question qui fait peur à tous les débutants ! Pour fixer tes tarifs, tu dois prendre en compte : tes compétences et ton expérience, les tarifs pratiqués sur le marché, tes charges fixes et variables, le temps réellement passé (y compris le temps non facturé comme la prospection ou l’administratif), et la rémunération que tu souhaites te verser. La règle d’or : ne te sous-évalue pas par peur de perdre des clients !
Est-ce que freelance est un vrai travail ?
Absolument ! Être freelance est un travail à part entière, avec ses propres défis et responsabilités. En fait, c’est même souvent plus exigeant qu’un emploi salarié puisque tu dois gérer tous les aspects de ton activité : réaliser les prestations, trouver des clients, gérer ta comptabilité, ta communication, etc. Le tout sans les avantages de la vie en entreprise (collègues, structure, soutien administratif…).
Comment trouver ses premiers clients en freelance ?
Il existe plusieurs méthodes qui fonctionnent bien : activer ton réseau personnel et professionnel, utiliser les plateformes de mise en relation (Malt, Fiverr, Upwork…), créer un site web professionnel et travailler ton référencement, être actif sur les réseaux sociaux professionnels comme LinkedIn, participer à des événements de networking, proposer des collaborations avec d’autres freelances complémentaires… La clé est de multiplier les canaux et de rester visible et proactif.
Freelance ou salarié : que choisir ?
Il n’y a pas de réponse universelle à cette question ! Tout dépend de ta personnalité, de tes objectifs professionnels et personnels, de ta tolérance au risque, et de ton besoin de sécurité. Le salariat offre stabilité et cadre, tandis que le freelance apporte liberté et potentiel de revenus plus élevés. Beaucoup commencent par une situation hybride (salarié + freelance à temps partiel) avant de faire le grand saut. L’idéal est de tester avant de t’engager pleinement.
Un freelance peut-il avoir un seul client ?
Légalement, oui, mais attention au risque de requalification en contrat de travail ! Si tu travailles exclusivement pour un seul client, dans ses locaux, avec ses outils, en suivant ses directives précises et selon ses horaires, l’administration fiscale ou les tribunaux pourraient considérer qu’il s’agit en réalité d’un salariat déguisé. Pour éviter ce risque, diversifie ta clientèle et veille à préserver ton indépendance dans l’organisation de ton travail.
Voilà, tu sais maintenant tout ce qu’il faut savoir sur la définition du freelance et comment ce mode de travail fonctionne ! 😊 Que tu sois simplement curieux ou que tu envisages de te lancer, j’espère que cet article t’a été utile. N’hésite pas à poser tes questions dans les commentaires si tu as besoin d’éclaircissements !
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